Microneedling du cuir chevelu : efficace ou dangereux ?

Microneedling du cuir chevelu : efficace ou dangereux ?

Le microneedling du cuir chevelu suscite un engouement croissant, notamment chez les personnes en quête de solutions rapides contre la chute de cheveux.

Cette méthode, consistant à percer mécaniquement la peau à l’aide de micro-aiguilles, est-elle réellement efficace pour stimuler la repousse ? Ou s’agit-il d’un effet de mode sans fondement scientifique ?

Au Laboratoire RENASCOR, nous avons fait un choix clair : refuser les approches invasives qui agressent le cuir chevelu, au profit de solutions topiques validées scientifiquement. Car protéger l’intégrité du bulbe, respecter l’épiderme et accompagner chaque patient dans une reconstruction durable font partie de notre ADN depuis 2017.

Comment fonctionne le microneedling sur le cuir chevelu ?

Le microneedling consiste à créer des micro-perforations dans la peau à l’aide de rouleaux ou de stylos munis d’aiguilles très fines. Le principe : ces micro-lésions provoqueraient une réaction inflammatoire contrôlée, censée stimuler la circulation sanguine, libérer des facteurs de croissance et ainsi favoriser la repousse capillaire.

La méthode est parfois couplée à des topiques (vitamines, peptides, minoxidil), censés mieux pénétrer via les micro-canaux créés.

Mais qu’en dit réellement la science ?

Que montrent les études cliniques ?

Les résultats des études sont encore limités et hétérogènes. Si certains essais évoquent une légère amélioration de la densité capillaire en cas d’alopécie androgénétique masculine modérée, les preuves restent insuffisantes pour justifier une généralisation du microneedling capillaire, notamment en auto-traitement ou sur des cuirs chevelus fragilisés.

De plus, les risques sont réels : infections, réactions inflammatoires, sensibilisation cutanée, cicatrices... Le cuir chevelu est une zone vascularisée et sensible. L’agresser régulièrement peut nuire à sa fonction protectrice et retarder toute forme de repousse.

Pourquoi RENASCOR refuse cette méthode

Le Laboratoire RENASCOR est aujourd’hui le seul laboratoire au monde spécialisé exclusivement dans la reconstruction capillaire post-oncologique et les soins des cuirs chevelus fragilisés.

À ce titre, nous adoptons une position très claire :

• NON au microneedling capillaire,

• OUI à la protection du cuir chevelu,

• OUI à la stimulation douce et respectueuse du bulbe,

• OUI à une repousse durable, sans agression.

Nous refusons toute méthode invasive non justifiée scientifiquement, en particulier pour les patientes post-chimiothérapie, les personnes ayant subi une greffe, ou celles dont le cuir chevelu est sensibilisé (déséquilibres hormonaux, stress oxydatif, traitements lourds...).

Des alternatives éprouvées et respectueuses

Depuis 2017, nous avons développé des protocoles topiques scientifiquement validés qui stimulent efficacement la repousse sans jamais agresser la peau.

Le soin REDACTIV2, par exemple, favorise la densité capillaire dès les premières semaines, sans aucune contrainte invasive.

En post-chimiothérapie, le protocole REDACTIV1 peut être utilisé dès le lendemain du traitement pour accélérer la repousse, tout en protégeant l’épiderme.

Ces solutions sont adaptées à tous les types de cuirs chevelus, y compris les plus fragiles.

Notre engagement : sécurité, efficacité, accompagnement

Au laboratoire RENASCOR, nous croyons à la reconstruction capillaire douce, durable et accompagnée.
Nos soins sont formulés, testés et validés avec une exigence scientifique constante.
Notre approche repose sur :

• L’écoute du patient,

• L’analyse fine du cuir chevelu,

• Le respect de l’intégrité cutanée,

• Et une vision globale de la santé capillaire.

Conclusion

Le microneedling du cuir chevelu peut séduire par sa promesse rapide. Mais les risques l’emportent sur les bénéfices, surtout en cas de cuir chevelu fragilisé.
Chez RENASCOR, nous refusons de céder à la mode au détriment de la sécurité et de la rigueur scientifique.

Protéger. Reconstruire. Respecter. Telle est notre mission depuis le premier protocole de croissance capillaire lancé en 2017.