Préparer la chute de cheveux pendant un traitement oncologique : étapes clés et solutionss

Préparer la chute de cheveux pendant un traitement oncologique : étapes clés et solutions

La chute de cheveux fait partie des effets secondaires les plus redoutés des traitements anticancer. Pour de nombreuses patientes, elle symbolise brutalement l’intrusion de la maladie dans l’intime. Pourtant, il est possible d’anticiper cette étape, de mieux la vivre et surtout de favoriser une repousse saine. Le Laboratoire RENASCOR, référence mondiale en reconstruction capillaire post-oncologique, travaille en étroite collaboration avec les socio-coiffeuses pour accompagner chaque femme avec rigueur, bienveillance et expertise.

Pourquoi les traitements provoquent-ils une alopécie ?

Certaines chimiothérapies, notamment celles à base de Taxotère, Cisplatine ou Cyclophosphamide, sont dites sévèrement alopéciantes : elles ciblent les cellules à division rapide, y compris celles des follicules pileux. Résultat : une chute soudaine, massive et souvent complète des cheveux, parfois dès les dix premiers jours.

Cette chute réactionnelle est généralement inévitable, mais elle peut être anticipée pour en réduire l’impact psychologique.

Le rôle essentiel de la socio-coiffeuse dans l’accompagnement

Professionnelle formée à la fois aux soins esthétiques et à l’écoute des parcours médicaux sensibles, la socio-coiffeuse est un maillon clé du parcours de soin. Présente dans les hôpitaux, les centres de soins ou en libéral, elle :

• Prépare la patiente à la chute de cheveux avec douceur et humanité

• Propose des coupes de transition, des conseils adaptés et une écoute précieuse

• Travaille en lien direct avec le Laboratoire RENASCOR pour initier le protocole capillaire au bon moment

• Assure un suivi post-chimiothérapie et accompagne la repousse capillaire au fil des semaines

Étapes clés pour mieux vivre la chute des cheveux

1. Anticiper en amont du traitement

Dès l’annonce du protocole oncologique, la patiente peut être mise en relation avec une socio-coiffeuse partenaire du Laboratoire RENASCOR, pour poser les bases d’un accompagnement personnalisé.

2. Adopter une coupe préparatoire

Couper les cheveux avant la chute permet de réduire le choc visuel, de se réapproprier son image, et de faciliter l’adaptation aux turbans ou prothèses.

3. Apaiser le cuir chevelu pendant l’alopécie

En phase d’alopécie, le cuir chevelu peut devenir sensible, sec ou inconfortable. Des gestes simples et des soins adaptés permettent de préparer la repousse dans les meilleures conditions.

REDACTIV1 : le soin référence après la chimiothérapie

Dès le 10ᵉ jour après la dernière injection, le protocole REDACTIV1 peut être lancé sous la supervision de la socio-coiffeuse. Ce soin unique, développé par le Laboratoire RENASCOR, favorise une repousse rapide, saine et homogène, même après les chimiothérapies les plus agressives.

Avec une formulation exclusive, testée en contexte post-oncologique, REDACTIV1 stimule les cellules souches des bulbes capillaires et réactive la croissance sans agresser le cuir chevelu.

REDACTIV2 : la suite naturelle du protocole RENASCOR

Trois mois après le début de REDACTIV1, la transition vers REDACTIV2 permet de consolider la densité, renforcer la fibre et stabiliser la repousse dans la durée. Cette continuité est essentielle pour reconstruire une chevelure durable, même en cas de fragilité initiale.

Une expertise reconnue, un accompagnement humain

Le Laboratoire RENASCOR travaille aux côtés de centaines de socio-coiffeuses partout en France et dans le monde. Ensemble, nous apportons un accompagnement rigoureux, humain et respectueux, centré sur la reconstruction capillaire post-cancer.

Notre mission : permettre à chaque patiente de retrouver sa chevelure et, avec elle, une partie de sa confiance et de son identité.

Conclusion

Préparer la chute de cheveux, c’est déjà amorcer la renaissance. Grâce à l’expertise du Laboratoire RENASCOR, à l’engagement des socio-coiffeuses et aux soins capillaires spécifiques REDACTIV1 et REDACTIV2, cette étape douloureuse peut devenir le premier jalon d’un parcours de reconstruction apaisé et positif.